GdidSanté Madagascar

GdidSanté Madagascar

L’ Association GDIDSanté Madagascar a pour but de :

  • donner une chance égale aux établissements sanitaires repartis dans tout le territoire national dans la prise en charge des malades
  • favoriser par tous les moyens des TIC, la diffusion d’une information et d’une formation en matière de santé, élaborées à partir de connaissances scientifiques fiables, indépendantes de tout autre intérêt que celui de la santé des personnes.
  • diffuser à tout le personnel de santé, toute connaissance scientifique ou autre, utile à une bonne gestion du risque sanitaire et à des offres de soins de qualité pour la communauté.
  • Promouvoir le partage, la collaboration et la recherche en matière de cybersanté

L’association se compose de :

  • Membres fondateurs
  • Membres actifs
  • Membres bienfaiteurs
Dr RAKOTOTIANA Lanto Barthélemy
PRÉSIDENT
Docteur en Santé Publique et Épidémiologie
Ayant aussi d’autres expériences dans le domaine de la Technologie de l’Information et de la Communication (TIC) notamment Télémédecine et Télé-éducation ;Management des projets ; Gestion Financière et Administrative ; Suivie Évaluation ; Renforcement des capacités ; Appui Organisationnel ; Communication ; Méthodologie de recherche et de Planification participative et en Développement. 
Dr Harinivo Honoré RAZAFINDRAKOTO
VICE-PRÉSIDENT
Médecin de santé publique
Travaillant dans le domaine de gestion des risques sanitaires liés aux catastrophes
Formé initialement aux universités Malagasy (Antananarivo et Mahajanga) pour la médecine, la santé publique et l’épidémiologie puis au centre régional de santé publique pour l’Afrique francophone à Ouidah Bénin en matière de santé dans les opérations de secours (HELP), membre du groupe technique de travail Madagascar sur l’analyse de l’insécurité alimentaire dans le sud et sud est du pays (certifié analyste integrated food security phase classification ou IPC niveau 1 par l’IPC global steering committee à Rome ).
Dr Rado Lalao RANDRIAMBOAVONJY
SECRÉTAIRE GÉNÉRAL
Santé numérique, biostatistique, recherche en santé
Diplômé de Master spécialisé en sciences de la Santé publique de l’Université de Mahajanga – orientation recherche, j’ai également suivi une formation diplômant à la Faculté de médecine Aix Marseille2 en expertise et ingénierie du système d’information en santé ou j’ai pu acquérir des connaissances académiques en matière de télémédecine, de système d’information en santé, de génie logiciel, de biostatistique et d’épidémiologie. Quelques formations, cycle court, ont permis de renforcer les acquis et développement personnel, Citons entre autre une formation en méthodologie de recherche et technique d’enquête en santé, une formation en Consultance et Management de formation, mais aussi une formation en Internet et pédagogie médicale.
HARIMANDA Lova Tiana
TRÉSORIÈRE
Master en applications informatiques à distance. L’expérience vécue pendant cette formation a permis de bien comprendre l’univers numérique et l’importance de l’intervention de la technologie de l’information et de la communication dans plusieurs domaines, pour dématérialiser et développer la connaissance partout où on veut et quand on veut. Travaillant la transmission des informations et l’interaction entre les acteurs par des technologies simples telle que technologie mobile dans le domaine de la santé.  
RASAONINA Haingotiana
COMMISSAIRE AUX COMPTES
Maître de conférence à l’Université d’Antananarivo, ayant soutenu une thèse de Doctorat nouveau régime en Sciences de Gestion dans le domaine de la Santé Publique dont l’intitulée est : « Renforcement du système de santé par la mise en place du financement basé sur les résultats : Cas Madagascar ». Responsable du CAREGE (Centre d’Appui aux Recherches en Gestion), Université d’Antananarivo. Une quinzaine d’années d’expériences dans l’encadrement d’étudiants en Licence et Master.


Bakovola Anna RAZAFINARIVO
CONSEILLÈRE
Marcel RAMANANTSOA
CONSEILLER
Expert en stratégie digitale et dématérialisation des processus
Acteur actif et citoyen dans les actions de transformation de la société et de l’organisation humaine, En tant que diabétique, le traitement des données informatiques sur la santé et permettre une meilleure circulation de l’information juste est quelque chose qui me touche directement.
Mettre en œuvre une plateforme informatisée sur le sujet de la télémédecine dans un environnement difficile et pauvre tel que Madagascar et un vrai défi. Ma devise : La meilleure façon d’anticiper l’avenir, c’est de le créer.

Les Organismes qui œuvrent dans la santé maternelle et infantile à Madagascar.


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06 août 2021

Projet d’Amélioration des Résultats Nutritionnels (PARN)

Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’Amélioration des Résultats Nutritionnels (PARN), un système voucher est mis en place au sein de tous les Centres de santé de base (CSB) des Régions bénéficiaires. Ce système est mis en place pour permettre aux enfants de moins de 5 ans, des femmes enceintes et des femmes nouvellement accouchées de bénéficier d’une prise en charge gratuite…

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19 août 2021

USAID

Chaque jour, cent enfants malagasy meurent d’une maladie courante mais évitable. Et tous les jours, dix femmes malagasy meurent des suites d’une complication de la grossesse ou de l’accouchement. Mettre fin aux décès évitables de la mère et de l’enfant est une priorité pour l’USAID. A cet effet, elle s’engage à offrir des interventions à fort impact pour la survie de la mère, du nouveau-né et de l’enfant en vue de s’attaquer, de manière importante, aux causes principales de la mortalité…

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15 juin 2021

MSF

Depuis fin mars, une équipe MSF, composée de personnel soignant et de logisticiens, intervient dans la région d’Anôsy située à l’extrême sud du pays. Elle évalue la situation et les activités que l’association pourrait mettre en œuvre pour contribuer à répondre en urgence à la malnutrition qui sévit actuellement…

D’après le Programme alimentaire mondial et le gouvernement malgache, en janvier 2021 la prévalence de la malnutrition aiguë globale chez les enfants de moins de 5 ans dans les trois régions les plus touchées (Androy, Anôsy et Atsimo Andrefana) s’élevait à plus de 10 %, soit le deuxième taux le plus élevé dans la région de l’Afrique de l’Est et australe.