GDIDSanté, une approche internationale pour des actions innovantes de santé globale.
GDIDSanté a pour objet de contribuer à l’amélioration durable de la santé des individus et des populations, afin de réduire les inégalités de santé et promouvoir la santé des individus et des
populations, en particulier celle des groupes vulnérables, négligés ou marginalisés.
La finalité de ses actions est :
- de réduire la mortalité et la morbidité évitables, en particulier celles qui pourraient être prévenues par des interventions sanitaires ou environnementales appropriées au contexte
local, avec la pleine participation des communautés et orientée vers l’autonomie et l’autodétermination des individus et des populations, - d’améliorer la qualité des programmes et des services de santé afin d’assurer une couverture effective en promotion de la santé et en soins de santé.
Ses objectifs sont :
1. La conception de projet et la réalisation d’évaluations, d’études ou de recherches opérationnelles en santé.
2. L’appui méthodologique, en particulier par la formation-action, pour la conception de projet et la réalisation d’évaluations, d’études ou de recherches opérationnelles en santé.
3. Le partage, via internet, d’informations, de pratiques et d’expériences, concernant des innovations techniques, technologiques et sociales en santé, recueillies auprès des acteurs de terrain et de la communauté scientifique.
4. Le développement de structures de recherche GDIDSanté partenaires, adaptées au contexte
et aux ressources locales.
Nos actions :
Réduire la mortalité et la morbidité évitables, en particulier celles qui pourraient être prévenues par des interventions sanitaires ou environnementales appropriées au contexte local, avec la pleine participation des communautés et orientée vers l’autonomie et l’autodétermination des individus et des populations,
– améliorer la qualité des programmes et des services de santé afin d’assurer une couverture
effective en promotion de la santé et en soins de santé.
Nos activités concrètes :
– accompagnement des étudiants en santé dans le cadre de stages de formation (niveau Licence, Master)
– contribution en recherche opérationnelle en santé des populations, Paris cité.
– évaluation et recherche opérationnelles pour le compte d’associations SantéSud, Amref et d’organismes publics, Institut Pasteur, Expertise France, AFD, MAE ou privés, Fondation Sanofi.
– s’appuie sur un réseau d’experts en méthodologie de gestion, évaluation de projets de santé, DMI et de recherche opérationnelle, ECEVE.
– a signé le 13 décembre 2019, une convention cadre avec l’Université de Paris.
GDIDSanté propose :
o Des partenariats nationaux et internationaux pour le développement de recherches-actions en santé des populations, dans une démarche de recherche participative impliquant les bénéficiaires ;
o Une formation d’étudiants en santé de différents niveaux de formation (Licence, Master et Doctorat) ;
Membres de bureau
Médecin de santé publique, en épidémiologie, prévention et économie de la santé, MCU-PH à l’hôpital Robert Debré (Paris) et à l’Université Paris Diderot – Université de Paris. Chercheuse associée à l’unité INSERM ECEVE 1123. Aurélie Bourmaud possède un master 2 en économie de la santé (Paris Dauphine) et un Master 2 en méthodologie de la recherche clinique (Paris Diderot) ainsi qu’un doctorat de Santé Publique (Lyon 1).
Ses domaines de recherche portent sur l’évaluation des interventions complexes dans le domaine de la prévention du cancer, puis de la pédiatrie. Elle a coordonné des projets de recherche sur le dépistage, l’adhésion aux traitements et l’éducation du patient et développe de nouvelles méthodes sur la construction et l’évaluation des programmes d’éducation du patient, sur la problématique de la transition enfant-adulte, sur la construction et l’évaluation de nouveaux parcours patients. Elle utilise des méthodologies combinant l’évaluation qualitative socio-anthropologiques, des méthodes statistiques descriptives et analytiques, et des méthodes d’évaluation médico-économique.
Diplômée de l’EDHEC, Marion Bayard travaille dans le secteur de développement depuis 10 ans. Chef de projet chez DMI, elle est spécialisée dans l’évaluation de projets de coopération, notamment dans le secteur de la santé. Elle a participé à l’évaluation à mi-parcours du projet ESTHERAID pour le compte de UNITAID. Elle est impliquée sur la formulation, la mise en œuvre et l’évaluation de projets de développement dans les secteurs de la gouvernance et de la justice. Elle a également évalué de nombreux projets de coopération transfrontalières dans les domaines de la gouvernance. Elle donne régulièrement des cours sur la gestion de cycle de projet et les techniques de suivi et d’évaluation à Sciences Po Lyon, l’IEDES Paris, et l’Université Lyon II.
Docteur en santé publique diplômé de l’Ecole doctorale Pierre Louis de Santé Publique, Université de Paris, Phillipe Martin conduit ses recherches sur le domaine de la sante sexuelle (vie sexuelle et affective, droits, transidentité) et plus précisément sur les méthodologies de recherche pour la promotion de la santé des jeunes (notamment sur Internet et le Digital).
Il a soutenu sa thèse en décembre 2020 sur le sujet « Communauté participative en ligne comme outil de promotion de la santé des adolescents et jeunes adultes: vers une preuve de concept appliquée à la santé sexuelle et reproductive. ». Cette thèse a été menée au sein des laboratoires ECEVE Inserm U1123 et « Santé et droits sexuels et reproductifs » de l’INED.
Son poste de chercheur en santé publique lui permet de dédier ses recherches aux thématiques de santé (bien-être, santé sexuelle, prévention du tabagisme, qualité de vie), notamment dans le cadre des projet SEXPAIRS, SCOTT, E-QOL-TRANS, AJAX et HANDISEX. Parallèlement, Phillipe Martin a participé à un un projet de recherche opérationnelle sur la santé maternelle et infantile au Sénégal (2021).
Ses différentes expériences professionnelles lui ont permis d’acquérir des compétences solides dans les domaines de l’évaluation et de la gestion de données, avec l’application de méthodes mixtes et l’usage des méthodes de la recherche participative basée sur la communauté.
Elle est spécialisée dans l’élaboration de protocoles de recherche, l’éthique, les lois et règlements concernant la recherche biomédicale, la collecte et la gestion des données, l’assurance qualité et la gestion financière des projets. Elle maîtrise les principaux outils utilisés pour effectuer l’analyse statistique des données épidémiologiques, pharmacologiques et des essais cliniques, l’interprétation, la communication et la diffusion des résultats et la rédaction d’articles scientifiques.
Titulaire d’un Master en Suivi et Evaluation des Politiques Publiques de l’Institut de Sciences Politiques de Lyon, Céleste Van Den Boeck a 20 ans d’expérience professionnelle dans le développement et la coopération internationale. Elle est spécialisée dans le suivi et l’évaluation de projets et de programmes d’assistance extérieure financés par la Communauté européenne en Asie, en Afrique, dans le Pacifique, dans les Caraïbes et dans les pays européens. Elle a participé au suivi et à l’évaluation d’un certain nombre de projets liés à la santé publique en Afrique et a entre autres évalué le projet ESTHERAID pour le compte d’UNITAID.
Elle a également réalisé des missions portant sur le développement des systèmes de suivi et d’évaluation et d’assurance de la qualité au sein des institutions gouvernementales. Elle enseigne le suivi et l’évaluation des politiques publiques à l’Université Pierre Mendès France à Grenoble et à Sciences Po Paris.
Médecin spécialiste en santé publique, en épidémiologie et en sciences sociales, Habilité à diriger les recherches, enseignant-chercheur, MCU honoraire de l’université Paris 7 Diderot, Chercheur associé au Laboratoire de recherche en santé ECEVE, Inserm, Université Paris 7 Diderot, Professeur à l’Ecole doctorale de l’université de Mahajanga à Madagascar.
Serge Gottot est spécialisé dans la mise en œuvre, suivi-évaluation de projets et de programmes et dans le montage et la réalisation de recherches opérationnelles principalement à Madagascar et en Afrique subsaharienne. Il a une longue expérience d’enseignements de méthodes quantitatives et qualitatives pour la réalisation d’évaluation et de recherches opérationnelles et en santé publique, en particulier l’évaluation des politiques de santé.